À LA RECHERCHE DE NOUVELLES MISSIONS EN AMAZONIE

Lors de notre Assemblée Provinciale de janvier, les communautés d’Équateur et de Bolivie ont été chargées de la recherche de nouvelles missions en Amazonie dans les deux pays mentionnés ci-dessus.

C’est avec enthousiasme que les deux communautés se sont lancées dans cette recherche et ont été très bien accueillies dans les différents lieux que nous avons visités. En Bolivie, Ana et Lola ont visité le Vicariat de Pando, après avoir eu une rencontre virtuelle avec l’évêque Eugenio Coter, qui nous a présenté la réalité et les besoins du Vicariat et plus particulièrement de Porvenir et de ses communautés rurales, où il voyait le plus grand besoin de notre présence.

Désireux de connaître la réalité, nous nous sommes rendues à Cobija le 22 avril, puis à Porvenir, où nous avons rencontré l’évêque, les deux prêtres de Cobija, un journaliste qui s’occupe de la paroisse et des femmes de la région. Tous nous ont présenté des réalités et des problèmes différents qu’il est urgent d’aborder : éducation alternative, trafic d’êtres humains, jeunesse, groupes de femmes, médecine alternative, santé, accompagnement des communautés indigènes…

Ces quelques jours ont été très bien passés, mais nous avons toutes deux ressenti le besoin de revenir pour rester et partager avec les gens pendant un mois, afin de mieux connaître la réalité et les communautés dispersées. C’est dans cet esprit que nous préparons notre prochain voyage.

Nous sommes toutes d’accord pour dire que la chose la plus importante dans cette recherche est notre réponse en tant que Sœurs Missionnaires Dominicaines du Rosaire. En ce mois de béatification de notre fondatrice, nous pensons que nous ne devrions pas seulement l’admirer mais aussi l’imiter dans sa disponibilité et son ouverture à la nouveauté et à l’inconnu, en se laissant conduire par l’Esprit.

Nous invitons les jeunes sœurs, non seulement de la Province mais aussi des autres continents, à maintenir l’esprit missionnaire et itinérant sur les traces de nos Fondateurs et de l’héritage qu’ils nous ont laissé.

Ana María Ortiz y Dolores Priede

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